Hip-hop
Enfants / ados / Adultes
Tous les vendredis
Ateliers de danse hip-hop assurés par Thierry Chandler à la MJC d’Oullins.
Tous les vendredis
Ateliers de danse hip-hop assurés par Thierry Chandler à la MJC d’Oullins.
Avec Thierry, venez découvrir la danse hip-hop et ses multiples facettes. Le but étant de s’épanouir, de progresser en accord avec ses envies, tout en créant une cohésion de groupe. Le tout dans une dynamique urbaine et fun pour se construire et réaliser qu’en s’amusant on peut aussi progresser.
Gala de danse le samedi 14 juin 2025 à partir de 19h30 – Salle des Fêtes du Parc Chabrières
7/11ans :
Vendredi – 17h à 18h
12/16 ans :
Vendredi – 18h à 19h30
Adultes :
Vendredi – 19h30 à 21h
danseur hip-hop
Thierry, professeur de Hip-Hop à la MJC d’Oullins, se distingue par un parcours atypique marqué par la diversité des expériences qui ont forgé sa passion pour la danse. À l’origine titulaire d’un CAP en mécanique automobile, Thierry a exploré différents domaines tels que la sécurité, le nettoyage industriel et particulier, mais aussi la mécanique dans un cadre plus officieux, pour dépanner des amis.
C’est il y a plus de deux décennies, à l’âge de 18 ans, que Thierry a découvert sa passion pour la danse Hip-Hop. Autodidacte, il a évolué en partageant la scène et des moments avec d’autres danseurs rencontrés au fil des années, notamment à travers des battles qui ont façonné son style unique.
Son introduction au monde des MJC s’est faite de manière naturelle, démarrant son parcours professionnel dans des écoles primaires et des milieux associatifs, dont les MJC. Ses débuts à Vaulx-en-Velin ont marqué le début d’une relation particulière avec ces institutions, élargissant son réseau au sein du monde de la danse.
La MJC d’Oullins est quant à elle entrée dans sa vie il y a 10 ans, d’abord par le plaisir de participer à des battles de Hip-Hop à Oullins. Professionnellement, le contact a été établi grâce au pôle 9 dans lequel il a d’abord travaillé.
La passion de Thierry pour le Hip-Hop a des racines profondes remontant à son enfance, où il imitait déjà Michael Jackson à l’âge de 6 ans. Inspiré par son cousin qui dansait à l’époque, Thierry a trouvé en MJ un modèle. Bien que la danse ne soit pas initialement considérée comme un métier, sa passion l’a toujours accompagné, malgré quelques mises de côté pour se concentrer sur ses études.
Interrogé sur ce qu’il dirait à quelqu’un hésitant à essayer le Hip-Hop, Thierry insiste sur l’importance de vivre sa passion sans craindre le jugement. Selon lui, la danse est une expression libre, où le plaisir et l’envie prévalent sur les normes rigides d’autres métiers.
Les anecdotes qu’il retient de son parcours sont surtout liées aux rencontres avec d’autres artistes, créant une toile riche d’expériences partagées.
Son passage à l’enseignement du Hip-Hop s’est fait naturellement, guidé par le plaisir de partager ses connaissances et de voir les autres évoluer. Thierry aime être un professeur accessible, favorisant la communication et le partage avec ses élèves. Travaillant dans six structures différentes, il souligne que bien qu’il enseigne les mêmes notions à tous ses élèves en fin d’année, chaque individu guide son enseignement. Il s’adapte à chacun, utilisant le break et le pop in comme styles distinctifs, offrant ainsi une méthodologie précise tout en évitant de se restreindre à une méthode rigide. Il ne programme pas ses cours à l’avance, préférant laisser les chorégraphies des galas se développer sur l’instant présent, guidées par l’expérience partagée avec ses adhérents. Pour Thierry, l’humain prime sur la structure préétablie, et c’est cette approche personnelle qui crée une atmosphère d’apprentissage unique.
En dehors de l’enseignement, Thierry a mis de côté son travail avec des compagnies pour se consacrer pleinement à ses élèves. Ses projets futurs incluent la création d’une entreprise de rénovation et d’entretien automobile, reflétant sa passion pour le monde auto.
Enfin, vous ne pourrez pas le retrouver sur les réseaux sociaux, puisque notre passionné de danse n’est pas adepte des réseaux sociaux, préférant le bouche-à-oreille comme moyen de communication. Pour Thierry, c’est la parole des autres qui parle le mieux de lui, plutôt qu’une vitrine virtuelle bien soignée.